Ma volonté est que mes dessins,mes estampes, mes bibelots, mes livres enfin les choses d'art qui ont fait le bonheur de ma vie, n'aient pas la froide tombe d'un musée, et le regard béte du passant indifférent, et je demande qu'elles soient toutes éparpillées sous les coups de marteaux du commissaire priseur et que la jouissance que m'a procurée l'acquisition de chacune d'elles, soit redonnée, pour chacune d'elles, à un héritier de mes goûts. EDMOND DE GONCOURT

Edmond et Jules

Edmond et Jules

Edmond de Goncourt par Nadar

Edmond de Goncourt par Nadar

jeudi 31 janvier 2008

Suite Affaire d'état

http://collectiondedegoncourt.blogspot.com/2008/01/une-affaire-detat.html

Suite de ce message

Extrait des lettres de Emile Zola à Messieurs de Goncourt, Ephémérides de l'affaire du Journal et de la Correspondance des Goncourt.

Donc en date du 10 février 1928._ M Victor Snell ( L'Oeuvre) voudrait savoir en quelle qualité M. Raymond Poincaré a été saisi de l'affaire Zola-Goncourt :

" Comme Président du Conseil ?

Comme ministre des Finances ?

Comme avocat des Goncourt ?

Comme avocat actuel ? "

Et l'Oeuvre qui, tous les jours depuis le 25 janvier, a publié des articles ou des notes en faveur de la communication immédiate et intégrale du fonds Goncourt, rappelle que M Poincaré émit l'opinion en 1895, à la fin de son toast au banquet Goncourt, que " dans une démocratie qui vit en liberté et que féconde la variété des inspirations individuelles, le gouvernement n'a rien à édicter, rien à diriger".

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