Paris, 23 juin 70.
Cher monsieur,
J'arrive d'un court voyage, trop tard pour rendre les derniers devoirs à celui que vous avez perdu. Je n'ai pu aller vous serrer la main, je suis désolé.
C'est une mort si prompte, si affreuse, que j'en reste depuis hier la tête vide. Je ne vous console pas.
Votre ami
Emile Zola
Courrier extrait du livre "LETTRES DE EMILE ZOLA A MESSIEURS DE GONCOURT" de 1929
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